Il faut dire que la tyrannie de l’élite noire et de la médecine se poursuit de la même façon et en pire, et ce n’est pas surprenant, car elles ont toutes adopté le même agenda. Il existe un complot planifié de longue date par les forces obscures et machiavéliques pour que les dirigeants mondiaux remodèlent les relations internationales, les économies nationales et les nouveaux modèles d’entreprise, et tout en tenant compte d’une gestion supposée exister pour un bien commun planétaire, ils mettent en œuvre des règles dystopiques planifiées pour remplacer les sociétés libres. Ils essaient de contrôler tous les aspects de notre vie, y compris ce que nous mangeons, où nous allons travailler, et ce qu’ils obtiennent en retour, c’est une augmentation de la pauvreté et de la misère causée par des pertes d’emploi massives, ainsi que par la faillite des petites et moyennes entreprises et la faillite économique dans le monde entier, alors que les patrons du pouvoir mondial continuent de s’enrichir, c’est pourquoi nous devons ouvrir les yeux sur la vérité. N’étant pas assez satisfaits, ils veulent aussi instituer une surveillance de masse renforcée par l’imposition des passeports de santé numériques, et ainsi forcer une inoculation avec un vaccin expérimental à ARNm qui cause un grand nombre de décès et des effets secondaires terribles. À long terme, et ceci malgré les dénonciations des médecins et des professionnels du monde entier. Ils cherchent également à abolir la liberté d’expression, en interdisant fermement toute dissidence qui ne soutient pas les mesures officielles de la tyrannie médicale. Le but est de créer une extinction massive de cette race jusqu’à sa consommation totale. C’est pour cette raison que nous devons sortir de notre confort, de notre indifférence et de notre passivité et manifester ouvertement notre mécontentement face aux mesures absurdes avant qu’il n’y ait plus de retour en arrière, car la tyrannie médicale exercée par les gouvernements fantoches avance sans s’arrêter dans son plan de génocide mondial, et il est urgent que la mobilisation générale crie un non fort et combatte la cruauté perverse que les obscurs de l’anti-lumière infligent à cette humanité sans défense.

« Quand ils commencèrent officiellement l’instauration d’une dictature mondiale, les peuples surpris et abattus, ne purent faire autrement que de l’accepter. La destruction de leurs nations était déjà irrémédiablement amorcée à leur insu, depuis bien longtemps, leurs intérêts n’avaient plus aucun poids, ni aucune importance pour les nouvelles puissances dirigeantes à grandes échelles. Pourtant ils l’ont voulu, sans se rendre compte que cela allait évidemment et inévitablement se retourner contre eux.
Les télécrans ont fait ce pour quoi ils ont été inventés, c’est-à-dire de l’ingénierie sociale visant avant tout à formater les esprits des masses. En effet, les pays furent définitivement et totalement dissouts dans des blocs continentaux en quelques décennies, sans qu’il n’y ait de véritable opposition populaire.
Pourtant, majoritairement les populations étaient contre cette idée avant que Big Brother ne la leur fasse avaler à coup de propagande et de chantage. On assistait là, à une véritable uniformisation du monde, permettant ensuite, très simplement, un regroupement et une soumission planétaire. Mais la majorité des gens n’ont rien vu venir…
Il y avait continuellement des attentats. Faits au hasard un peu partout. Avec Big Brother, le moindre fait divers impliquant une personne originaire du Moyen-Orient devenait un attentat, et était matraqué en boucle sur tous les télécrans pendant des jours et des jours.
Pendant ce temps on oubliait la pauvreté, le chômage, bref la baisse du niveau de vie et son coût toujours plus élevé. Le musulman était devenu détenteur du monopole du terrorisme. On lui avait collé l’étiquette, telle une marque déposée, et quand une personne ayant commis un attentat n’avait pas le profil type, on le désignait comme un déséquilibré seul et isolé.
Cela servait à maintenir constamment le peuple divisé et asservi par la peur, et permettait ainsi à l’état de limiter sans cesse la liberté des citoyens, sans que ceux-ci ne s’y opposent. Les conflits communautaires étaient la parade pour éviter que le peuple ne s’en prenne à ses vrais bourreaux.
La haine de l’autre, la haine de son voisin, la haine de la religion, était ce qui empêchait et détournait la haine du banquier, du policier, du juge, du journaliste, bref la haine de tout un système qui ne pouvait être que détestable tellement il devenait invivable. Encore mieux, cette haine de l’ennemi désigné conduisait même le peuple à aimer d’autant plus sa condition et sa servitude, et à défendre sa propre prison.
À chaque attentat, des lois de plus en plus liberticides étaient adoptées, tout cela dans l’indifférence générale et avec le consentement des masses. C’est ainsi que ce qui semblait être une démocratie se révéla être ce qu’elle avait toujours été une oligarchie. Le peuple n’avait jamais eu aucun réel pouvoir, mais celui-ci ne s’en était pas rendu compte jusqu’à ce que le pouvoir ne l’ait totalement et définitivement enchaîné, muselé et asservi.
Le totalitarisme ne s’imposa pas, il s’installa tranquillement, petit à petit. »