Cette partie de l’histoire dura encore un bon moment, jusqu’à l’entrée en scène d’une entité merveilleuse du nom de Napoléon. En avez-vous entendu parler, oui ? Et bien ! Avant lui, il y eut tous les Césars. Pour un César, il n’était pas vraiment nécessaire de trouver du financement avant d’entreprendre une marche guerrière : il marchait simplement sur un pays et se l’appropriait. Puis est venu ce grand conquérant avec ses rêves de gloire, ses rêves De rétablir la prédominance de son pays sur le monde de son époque. Cependant, son pays était en faillite, parce que les gens, les masses si vous préférez, avaient renversé l’aristocratie. Vous savez : coupe, coupe, COUPE ?* et le résultat, ils se sont débarrassés de tout le sang noble qui existait dans ce pays à ce moment-là, car ils accusaient les nobles d’être la cause de leur très grande pauvreté. Et ils avaient raison.
Donc ce conquérant est venu pour tirer du marasme sont pays bien-aimé et lui redonner son ancienne place prépondérante. Et avec lui vint un individu qui s’aperçut qu’il pouvait tirer un grand profit de cette entreprise. Il finança Napoléon et ses aventures, il lui consentit un prêt substantiel pour aller guerroyer et conquérir et, quel que fût le butin ramené par Napoléon, il y avait droit pour se rembourser. Me suivez-vous ? Oui. Maintenant, rappelez-vous : les femmes demeuraient à la maison et les hommes allaient à la guerre (sauf quelques chétifs qui demeuraient à l’arrière pour prendre soin des femmes).