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BIBLIOGRAPHE

La vie de génie

Le génie ne réside pas dans le connu, mais dans l’inconnu réalisé

Votre corps physique est capable de prouesses remarquables. De même votre cerveau est capable de recevoir une connaissance plus grande, des fréquences de pensée plus élevées, appelées génie. Oui, le génie ! Le génie ne réside pas dans le connu, mais dans l’inconnu réalisé. Et, pour chacun d’entre vous, le génie consiste en l’utilisation plus grande de votre mental. Vous n’utilisez que le tiers de votre potentiel actuel.

Votre vie est la manifestation de votre attitude

Revenons-en maintenant à la divinité de l’être humain. Si vous vous comportez délibérément comme une réplique du Dieu Tout-puissant, c’est-à-dire, si vous agissez en sachant que vous êtes Dieu manifesté, alors vous tenez en main les instruments qui vous sont réservés. Et l’instrument le plus fondamental de tous est la capacité de recevoir la pensée et d’y ajouter votre émotion, parvenant ainsi à la créer, à lui faire prendre forme. Car la destinée consiste simplement en des pensées reçues et fécondées par l’émotion.

Collectivement, elles constituent votre attitude. Et elles reflètent votre vie. Votre vie est la manifestation de votre attitude !

Et pourtant, regardez les, ces êtres humains hypnotisés, plongés en pleine léthargie. Ils ont accepté la technologie mise à leur portée, sans effort. Voici l’être humain divin devenu incapable de penser par lui-même. Il a abandonné ce qui constitue le droit inaliénable de l’être humain. Le droit divin de penser et de choisir, voilà ce qui vous rend différents ! C’est par là que vous êtes divins ! Vous avez en vous la capacité d’embrasser la pensée illimitée et de la matérialiser. Vous pouvez le faire !

Vous êtes le dessein divin de Dieu. Vous êtes chair et sang, sans réserve et inconditionnellement, et complètement libres d’exister dans votre forme, cette création de chair et de sang qui vous permet d’explorer votre moi véritable. Voilà tout ce qu’il y a. Et vous avez la possibilité de vous manifester en totalité, non seulement par le biais de la pensée, mais de la vie elle-même. À quoi bon se limiter à la seule pensée quand tout cela peut être vécu. Si ce n’est pas vécu, ça ne vaut rien. Ça n’existe pas, c’est uniquement une pensée sans forme. Et lorsque j’observe le déroulement de la conscience sociale dans l’aventure humaine, je vois des entités bien munies de corps et d’esprit, mais qui vivent comme des sangsues. Elles vivent aux crochets des autres. Pourtant, elles peuvent devenir autonomes si elles le désirent. Et je les vois en train d’attendre que le monde entier prenne soin d’elles, parce qu’elles en semblent incapables.

Je vois ceux qui prennent soin de ces gens et apportent leur aide avec charité et amour. C’est là une vertu sans limite. Mais si vous êtes de ceux qui vivent des fruits du labeur ardu de quelqu’un d’autre, quand vous pouvez être un génie, vous êtes encore plus abruti. Vous avez refusé de vivre. Mais, comme vous existez, il faut vous prendre en charge et s’occuper de vous.

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