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BIBLIOGRAPHE

La conscience sociale

Lorsque naît la Lumière

Le cadre de la conscience sociale est très restreignant. Vous devez faire comme tout le monde. Et la conscience sociale demeure inchangée parce que tout le monde fait comme tout le monde. Mais lorsque la lumière naît dans le monde, lorsqu’une réalité est élargie, la perception est également élargie.

Lorsque la lumière se fait, même chez un seul et unique individu, celui-ci, participant dans le continuum de la conscience sociale, devient soudainement conscient. Il comprend davantage et il possède plus de vérité. La conscience de cet individu élève la conscience sociale, car ce qui commence à être perçu par un seul est émis à l’extérieur et commence à influencer les autres.

Le résultat final de l’aventure humaine ne sera pas une répétition de l’histoire. La destinée de l’être humain est plutôt d’évoluer en une entité spirituelle complète, un être humain immaculé. Voilà votre destinée : manifester la droiture et les vertus du Christ latent à l’intérieur de chacun d’entre vous. C’est le point culminant de cette évolution. Et Dieu vous êtes, car vous avez le droit de choisir.

Les éclaircissements apportés sont en train d’élever et d’élargir votre propre conscience grâce à la connaissance. Cela ne consiste pas en des rituels spirituels. C’est la compréhension elle-même.

Dans ce site, déroutant pour certains, j’ai choisi de mettre de l’avant un enseignement d’une valeur historique. Je vous ai transmis un enseignement clair du « pourquoi » associé à une compréhension du choix, associé à une compréhension de l’image de l’ego altéré, de telle sorte que vous ne puissiez pas dire dorénavant : « Personne ne nous a jamais donné la réponse au « pourquoi  » de ce qui s’en vient. » Je l’ai fait pour vous encourager à sortir de votre ignorance.

J’ai choisi de vous éclairer sur votre histoire, pour vous aider à entretenir une vision plus complète de la nature de l’aventure collective de l’humanité et, ainsi, vous en transmettre le « pourquoi ». De cette façon, vous savez, vous comprenez et vous cessez d’être le jouet de superstitions. Ainsi vous ne vous laisserez plus berner par des explications sur la nature de choses qui sont complètement à l’opposé de la réalité. Je vous ai certainement pas communiqué cet enseignement dans le but de vous déprimer, mais dans celui d’élargir votre compréhension, pour vous permettre de regarder à l’extérieur de la fenêtre et de voir la configuration du terrain. Cela vous permettra de faire des choix qui illumineront votre chemin à travers tout ce qui s’en vient.

L’illumination pour le maître, pour cet être humain spectaculaire est aussi nécessaire que la respiration. Elle est aussi nécessaire que dormir, marcher, agir. Car sans la connaissance, vous demeurez uniquement une humanité sans visage, vous manquez d’individualité, vous n’êtes ni plus ni moins que l’écho des autres autour de vous. Et tout le monde se fait ainsi l’écho de tout le monde.

Ce qui est écrit dans ces pages se propose de vous ouvrir à la compréhension des jours prochains. Au coeur de l’inconnu qui commence de l’autre côté de votre porte, vous apprendrez également l’espoir, les options et les probabilités qui existent dans l’inconnu. Ces portes ne s’ouvrent qu’à ceux qui élargissent leur perception grâce à l’illumination, cette connaissance qui permet d’obtenir les réponses. L’inconnu ne vient jamais à une entité dont l’esprit est fermé. Il vient rarement à celui qui est en proie à la peur, mais plutôt à celui qui va de l’avant, animé du désir de comprendre.

Donc, pour ceux d’entre vous qui se sentent impuissants et sans espoir en lisant ceci, je désire que vous sachiez que le désespoir n’a pas d’existence réelle. Il y a un autre côté à cette histoire, qui n’est pas encore dit, qui n’est pas encore réalisé. Nous allons atteindre ce point dans les passages qui suivent. Donc, donc, tenez bien vos chapeaux et vos cerveaux, ainsi que vos âmes émotives et apprenez. Apprenez et ne soyez jamais effrayés d’apprendre. C’est ce qui vous délivrera de cette pagaille malodorante. Marché conclu ? Qu’il en soit ainsi !

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